Accusé de conduite avec facultés affaiblies à Ottawa. M.D. faisait face à une peine de prison - il s'agissait d'une deuxième infraction de conduite avec facultés affaiblies. Céline a réussi à empêcher la Couronne de déposer un avis d'augmentation de peine, et M.D. a été condamné à une amende plus élevée.
B.L. a été accusé de conduite avec facultés affaiblies d’un véhicule automobile. B.L. est allé dans un bar après le travail, a rencontré d’autres clients et a consommé trop d’alcool. B.L. a quitté le bar avec un autre client. Sur le chemin du retour, le véhicule est tombé dans un fossé. L’autre personne est allée chercher de l’aide et a dit à la police que B.L. était le conducteur. Lorsque la police est arrivée à l’emplacement du véhicule, B.L. était assis dans le siège du conducteur, avait subi une commotion cérébrale et ne se souvenait pas de l’accident de la route. Au procès, Céline a réussi à faire naître un doute raisonnable que B.L. n’était pas un conducteur – l’autre client conduisait le véhicule et B.L. est monté sur le siège du conducteur après l’accident. Le juge a acquitté B.L.
RB a été inculpé de conduite avec facultés affaiblies causant des lésions corporelles: son véhicule a heurté une famille qui partait en vacances, et a gravement blessé les personnes dans l'autre véhicule. Toute personne reconnue coupable de conduite avec facultés affaiblies causant des lésions corporelles reçoit une peine d’emprisonnement : c’est la durée de l’emprisonnement qui dépend des actions de l’accusé et des blessures subies par les victimes. Céline Dostaler a travaillé avec son client pour le préparer à recevoir une peine minimale. Après de longues représentations devant le juge, RB a été condamné à 10 mois de prison, moins de la moitié du temps que le ministère public a estimé approprié.
A.N. devait être le conducteur désigné. Lorsque le bar a fermé, son téléphone était mort et il n'y avait pas de taxi proche. A.N. a monté dans sa voiture, l’a mis en marche seulement pour charger son téléphone. A.N. a été arrêtée pour conduite avec facultés affaiblies. A.N. a été acquitté de toutes les accusations après le procès.
R.H. a été arrêté par la police puisqu’elle pensait qu’il conduisait en état d’ébriété. À la station de police, les policiers ont essayé de convaincre R.H. d’appeler un avocat. Avant de fournir un échantillon d’haleine, le policier a relu le droit d’avocat à R.H., qui a finalement demandé à parler à un avocat. Cependant, le policier a refusé de le laisser d’en appeler un, étant donné qu’il en avait eu la chance avant. R.H. a refusé de fournir un échantillon étant donné qu’il ne pouvait recevoir les conseils d’un avocat à cet instant. Céline a plaidé avec succès que le droit de consulter un avocat avait été violé, et R.H. a été acquitté.
J.L. a été accusé d’avoir contrôle d’un véhicule moteur lorsque ses facultés étaient affaiblies et de conduire lorsqu’il était intoxiqué. J.L. a bu avec ses amis dans un bar, et avait prévu marcher avec ses amis, et d’obtenir sa voiture le lendemain. Des ambulanciers étaient garés près de sa voiture, et ont remarqué que J.L. avait allumé le moteur et s’est mis à reculons. Les ambulanciers ont bloqué la voiture pour l’empêcher de conduire et ont appelé la police. Au procès, J.L. a été acquitté de conduite avec facultés affaiblies d’un véhicule à moteur.
P.W. a été accusé de conduite avec facultés affaiblies et de refuser de fournir un échantillon d’haleine. P.W. a bu plus de 6 onces de vodka et deux grandes canettes de bière. Des témoins ont appelé la police parce que P.W. conduisait de façon erratique, et qu’il avait frappé un banc de neige. P.W. avait tellement de remors qu’il voulait plaider coupable à toutes les accusations. Grâce à un plaidoyer efficace, P.W. a seulement été retrouvé coupable à l’accusation de conduite avec facultés affaiblies. Il a reçu une amende de 2,000$ et une interdiction de conduire pour un an.