Farm equipment De la machinerie agricole a été achetée et vendue sous un faux nom. Le vendeur n'a jamais reçu de paiement après que le véhicule ait été emporté. C.D. a été inculpé parce que la police pensait que c'était lui qui avait organisé la vente frauduleuse. Toutes les charges ont été abandonnées.
E.G.P. a volé de son employeur. Après qu'elle ait quitté son emploi, l'employeur a enquêté sur ses habitudes, et elle a été accusée de fraude. Céline a réussi à convaincre le juge que sa cliente ne devait recevoir qu'une absolution. Le juge a averti E.G.P. qu'une absolution est une position très étrange dans un tel abus de confiance, mais a accepté de l'imposer dans ce cas.
Alors que M.B. était déprimée, elle a rencontré un homme en ligne qui a immédiatement profité de sa vulnérabilité. M.B. a pris de l'argent à son employeur et l'a envoyé à l'homme. Au total, elle a pris plus de 40 000 dollars. M.B. a été reconnue coupable de fraude. La Couronne voulait que M.B. passe un an en prison, afin d'apprendre de son erreur. Mais Céline a convaincu le juge que sa cliente avait déjà des remords et que la détention à domicile, où elle pourrait rendre les fonds, serait plus bénéfique que d'envoyer sa cliente en prison.
S.S. a retiré plus de 30 000 dollars de son employeur, en rédigeant de faux chèques de paie, et a été accusé de fraude et de falsification de documents à Ottawa. Le ministère public a décrit ces actions comme d'énormes abus de confiance et a demandé que S.S. passe au moins 9 mois en prison pour cette fraude. Céline a réussi à convaincre le juge de condamner son client à la détention à domicile, donnant à S.S. le temps de rembourser les fonds pris.
TC est un père célibataire, qui lutte pour gagner assez d'argent pour s'occuper de son enfant. Quelqu'un qu'il connaît l'a approché et lui a offert de l'argent s'il acceptait de signer un bail pour un véhicule avec une fausse carte d'identité. TC a été accusé d'usurpation d'identité, de fraude de plus de 5 000 $ et de vol de plus de 5 000 $. Céline a convaincu le juge qu'une peine de prison n'était pas appropriée dans le cas de TC, et TC a été condamné uniquement à une période de probation.
C.C. a pris plus de 30.000$ à son employeur et a été accusée de fraude et d'abus de confiance criminel. Après avoir suivi une réhabilitation complète et remboursé la totalité du montant, Céline a convaincu le juge que son client ne devait pas recevoir de casier judiciaire. C.C. a été condamnée à une absolution conditionnelle, ce qui lui a évité une condamnation.
M.L. a été accusé de nombreux crimes en col blanc, notamment de fraude, de contrefaçon, pour un total de plus de 4 millions de dollars. Le ministère public voulait enfermer M.L. pendant 4 ans, mais Céline a plaidé avec expertise au nom de son client, qui a été condamné à 18 mois de prison, et a été obligé de rembourser une somme bien inférieure à seulement 2 plaignants.
La pandémie de COVID-19 a provoqué de nombreuses perturbations dans la vie quotidienne. Pour L.B., il n'a pas pu aller rendre visite à sa petite amie au Canada en raison de la fermeture des frontières. Désespéré, L.B. a décidé de falsifier une lettre d'emploi pour pouvoir passer la frontière. Les gardes-frontières ont trouvé les faux documents, et il a été accusé d'avoir émis de faux documents. Céline a convaincu le tribunal de condamner son client à une absolution inconditionnelle, garantissant ainsi que L.B. n'ait pas de casier judiciaire.
C.M. travaillait dans un grand magasin avec son partenaire et était responsable de la sécurité. Plus de 20 000 $ avaient disparu et on avait soupçonné C.M d’en être responsable. Le directeur avait interrogé C.M et l’avait persuadé d’admettre sa culpabilité pour que son partenaire puisse continuer à travailler dans l’entreprise. Bien que son client ait admis avoir volé l’argent pendant l’entretien et avoir reconnu sa culpabilité dans une déclaration écrite, Céline avait travaillé sans répit pour identifier les incohérences dans cette affaire. Elle avait ainsi réussi à convaincre le juge que l’on ne pouvait pas se fier à l’admission de culpabilité de son client. La Couronne avait retiré les accusations.
R.H. était l’agent de procuration pour sa grand-mère. R.H. c’est payé plus de 300,000$ de son compte sans autorisation, et a été accusé de fraude. La Couronne demandait une peine d’emprisonnement de nombreuses années. Les arguments de Céline a entrainé le juge à accepter de mettre R.H. en peine d’emprisonnement conditionnelle avec des conditions très strictes.
J.B. a été accusé d’avoir déverrouillé la porte de l’entrepôt dans lequel il travaillait pour permettre des voleurs d’entrer et de prendre de la marchandise d’une valeur de plusieurs milles dollars. La vidéo de sécurité montrait un individu, identifié comme étant J.B. par son employeur, ouvrir la porte et laisser des voleurs entrer. J.B. a été acquitté parce que Céline a convaincu le juge qu’il n’était pas la personne dans le vidéo de sécurité qui a déverrouillé de la porte.