Lorsque le client de Céline a été arrêté pour excès de vitesse, la police a remarqué une arme à feu dans le véhicule. R.H. n'avait pas de PPA valide. Toutes les accusations ont été retirées.
La police avait un mandat pour pénétrer dans la maison de S.R., où elle a trouvé des centaines d'armes à feu qui traînaient. Les poursuites pour infraction à la législation sur les armes à feu ont été abandonnées.
R.G. conduisait une voiture. Le passager avait une arme à feu, à son insu. Lorsque la police l'a arrêté pour excès de vitesse, elle a trouvé l'arme et R.G. a été inculpé. La Couronne voulait que R.G. aille en prison. Toutes les charges criminelles ont été abandonnées.
B.H. et son partenaire se séparent. B.H. a dit à son partenaire de ne pas venir chez elle, mais celui-ci s'est présenté tard dans la soirée et n'a pas voulu partir. B.H. l'a poignardé avec un couteau pour qu'il parte. Bien que B.H. ait été reconnue coupable, le juge a imposé une absolution inconditionnelle. B.H. n'a pas de casier judiciaire.
Alors qu'il était sorti consommer de la drogue avec des personnes qu'il croyait connaître, celles-ci l'ont amené à un vol à main armée. ZS a été accusé de vol à main armée et de complot à Perth, en Ontario. ZS a maintenu qu'il ne faisait pas partie du hold-up. Après de longues négociations, les accusations de ZS ont toutes été retirées.
CO se rendait à Toronto en voiture avec trois autres hommes. Ils ont caché deux armes chargées dans son sac. CO a été reconnu coupable d'avoir été en possession des armes à feu à Brockville, en Ontario. La Couronne a demandé une peine d'emprisonnement de 4 ans. CO n'avait jamais été en prison auparavant. Céline a convaincu la Cour que CO devrait plutôt être assigné à résidence. Sa cliente a été condamnée à une peine d'emprisonnement avec sursis de 2 ans moins un jour, ce qui lui a permis de purger sa peine d'emprisonnement à domicile.
Les enfants de S.N. ont appelé la police, disant que leur mère les avait frappés. La société d'aide à l'enfance a enquêté et S.N. a été accusée de voies de fait avec une arme, d'agression et de menaces à l'encontre de ses enfants. Céline a fortement défendu son client, et les charges ont été retirées par la Couronne.
D.V. était fasciné par les pistolets. Quand il a perdu son emploi, une connaissance lui a offert de l’acheter une arme à feu restreinte s’il en enregistrait une autre sous son nom. D.V. a accepté l’offre : il a acheté et enregistré deux armes à feu à autorisation restreinte sous son nom. Quand il a reçu les pistolets, il a invité un ami faire du tir à la cible avec celles-ci. Les deux hommes ont bu de l’alcool et consommé des drogues lorsqu’ils pratiquaient avec les armes à feux. L’ami de D.V. s’est tiré accidentellement. D.V. a raconté à la police que son ami s’est suicidé avec un fusil de chasse. La Couronne recherchait une peine d’emprisonnement de 6-8 ans, mais Céline a plaidé avec succès pour une peine d’emprisonnement de 5 ans, même en considérant que D.V. avait falsifié une scène de mort, a menti à la police et trafiqué d’une arme à feu.