Cas pour Pornographie infantile
2023
R. c. J.N.
Que se passe-t-il lorsque votre commande en ligne ne correspond pas à ce que vous avez commandé ? J.N. a commandé une poupée sexuelle en ligne, la compagnie a envoyé une poupée sexuelle pour enfant. La commande a été arrêtée par les douanes et J.N. a été accusé d'avoir importé de la pornographie enfantine. Céline a fourni toutes les informations à la Couronne pour démontrer que l'article expédié n'était pas ce qui avait été commandé, et les accusations ont été abandonnées.
2022
R. c. P.C.
La police a été avertie que P.C. avait de la pornographie juvénile sur son ordinateur. Le procureur de la Couronne voulait une peine d'emprisonnement d'un an, mais Céline a réussi à convaincre un juge de condamner son client à 90 jours de prison, purgés les fins de semaine. P.C. a pu conserver son emploi et retourner chez lui pendant la semaine.
2020
R. v. J.M.
JM possédait une énorme collection de pornographie enfantine, téléchargée sur Internet et mise à la disposition d'autres personnes par le biais d'un logiciel de peer-to-peer. JM en était sans casier judiciaire. La Couronne voulait que JM soit condamné à 5-6 ans de prison, mais Céline a convaincu le juge qu'une peine beaucoup plus légère, celle de 3,5 ans, était appropriée.
2014
R. c. J.H.
J.H. a été accusé de possession de pornographie infantile. La police a quantifié la collection comme étant l’une des plus grandes déjà vue dans la ville d’Ottawa. À la veille de sa condamnation, quelqu’un d’autre avec une collection de pornographie infantile moins grande a été condamné à 2 ans de prison. Céline a travaillé avec J.H. et sa famille afin de commencer sa réhabilitation, un effort qui avait comme but de réduire sa peine. J.H. a été condamné à 1 ans d’emprisonnement pour une possession d’une des plus grandes collections de pornographie infantile dans la région d’Ottawa.